Quand prendre conscience fait souffrance

L’éco-anxiété, l’éco-stress ou encore la « solastalgie » sont autant de mots pour évoquer une inquiétude existentielle, une souffrance en lien avec une prise de conscience lucide et pessimiste quant à « la viabilité de la planète dans les décennies à venir » (A. Desbiolles). L’éco-anxiété se définit par une détresse psychique et mentale liée aux enjeux environnementaux et climatiques.

La crise écologique peut être vécue comme inquiétante voire angoissante et peut être source de colère, d’incompréhension, de culpabilité ou encore d’impuissance… Comment sortir d’un sentiment de fatalité, d’une vision anticipatrice pessimiste de notre futur ? du devenir du vivant ? de l’humanité ?

Au cours de nos échanges nous explorons ensemble ce qui fait souffrance pour y mettre des mots, des sensations, des actions.

En se reconnectant à soi, à l’instant présent, à la nature, il devient possible d’imaginer et de créer de nouveaux chemins en accord avec soi et ses valeurs tout en étant plus confiant.e et apaisé.e.

« […] « la solastalgie », c’est-à-dire le sentiment ressenti face à un changement environnemental stressant et négatif. »

(G. Albrecht)

« […] j’ai donc créé le terme de « Symbiocène » pour désigner une ère caractérisée par des émotions positives envers la Terre, une ère qui représente un avenir alternatif hautement souhaitable. » (G. Albrecht)